Qu'est ce que ça peut faire
Qu’est-ce-que ça peut faire,
De savoir qu’été comme hiver,
Tu vas me manquer.
Qu’est-ce-que ça peut faire,
De savoir qu’on s’est fait la guerre,
Qu’on s’est fait la paix.
Qu’est-ce-que ça peut foutre,
Qu’est-ce-que ça peut faire.
Qu’est-ce-que ça peut faire,
Que tu jettes la tête en arrière,
Que je sois sonné.
Qu’est-ce-que ça peut faire,
Toutes ces parties de jambes en l’air,
Ces actes manqués.
Qu’est-ce-que ça peut foutre,
Qu’est-ce-que ça peut faire.
Au bout de la route,
Il n’y a qu’un désert.
Qu’est-ce-que ça peut faire,
De voir qu’tu n’as rien de mieux à faire,
Que de m’écouter.
Oh dis moi Qu’est-ce-que ça peut faire,
Qu’on oublie les préliminaires.
Qu’on laisse allumé.
Qu’est-ce-que ça peut foutre,
Qu’est-ce-que ça peut faire.
Qu’est-ce-que ça peut faire,
Qu’il y ait cette beauté sur la terre,
Si tout dois brûler.
Oh dis moi qu’est-ce-que ça peut faire,
Qu’il y ait un solstice en hiver,
Et l’autre en été.
Qu’est-ce-que ça peut foutre,
Qu’est-ce-que ça peut faire.
Puisqu’au bout de la route,
Il n’y a qu’un désert.
Vas-y demande à la poussière.
Il y a cette lumière,
Qui ne s’éteint jamais,
Comme un Cerbère,
Aux abords de la mer.
Il y a cette lumière,
Qui ne s’éteint jamais,
Comme un réverbère,
Comme les feux d’un loquet.
Qu’est-ce-que ça peut faire,
Qu’il y ait des stations balnéa
ires,
Dans mon verre à pied.
Oh dis moi qu’est-ce-que ça peut faire,
Que je te voie le ventre à l’air,
Ou les yeux cernés.
Qu’est-ce-que ça peut foutre,
Qu’est-ce-que ça peut faire.
Puisqu’au bout de la route,
Il n’y a qu’un désert.
Qu’est-ce-que ça peut foutre,
Qu’est-ce-que ça peut faire.
Puisqu’au bout de la route,
Il n’y a qu’un grand désert.
(Benjamin Biolay)
De savoir qu’été comme hiver,
Tu vas me manquer.
Qu’est-ce-que ça peut faire,
De savoir qu’on s’est fait la guerre,
Qu’on s’est fait la paix.
Qu’est-ce-que ça peut foutre,
Qu’est-ce-que ça peut faire.
Qu’est-ce-que ça peut faire,
Que tu jettes la tête en arrière,
Que je sois sonné.
Qu’est-ce-que ça peut faire,
Toutes ces parties de jambes en l’air,
Ces actes manqués.
Qu’est-ce-que ça peut foutre,
Qu’est-ce-que ça peut faire.
Au bout de la route,
Il n’y a qu’un désert.
Qu’est-ce-que ça peut faire,
De voir qu’tu n’as rien de mieux à faire,
Que de m’écouter.
Oh dis moi Qu’est-ce-que ça peut faire,
Qu’on oublie les préliminaires.
Qu’on laisse allumé.
Qu’est-ce-que ça peut foutre,
Qu’est-ce-que ça peut faire.
Qu’est-ce-que ça peut faire,
Qu’il y ait cette beauté sur la terre,
Si tout dois brûler.
Oh dis moi qu’est-ce-que ça peut faire,
Qu’il y ait un solstice en hiver,
Et l’autre en été.
Qu’est-ce-que ça peut foutre,
Qu’est-ce-que ça peut faire.
Puisqu’au bout de la route,
Il n’y a qu’un désert.
Vas-y demande à la poussière.
Il y a cette lumière,
Qui ne s’éteint jamais,
Comme un Cerbère,
Aux abords de la mer.
Il y a cette lumière,
Qui ne s’éteint jamais,
Comme un réverbère,
Comme les feux d’un loquet.
Qu’est-ce-que ça peut faire,
Qu’il y ait des stations balnéa
ires,
Dans mon verre à pied.
Oh dis moi qu’est-ce-que ça peut faire,
Que je te voie le ventre à l’air,
Ou les yeux cernés.
Qu’est-ce-que ça peut foutre,
Qu’est-ce-que ça peut faire.
Puisqu’au bout de la route,
Il n’y a qu’un désert.
Qu’est-ce-que ça peut foutre,
Qu’est-ce-que ça peut faire.
Puisqu’au bout de la route,
Il n’y a qu’un grand désert.
(Benjamin Biolay)
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